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Tuber brumale full description Finissez à l’ordinaire ; faites cuire ; dégraissez, & y jettez un ragoût de truffes. Faites-en sortir les jaunes, & les remplissez du ragoût. Du moment que les chalutiers à vapeur, réquisitionnés, péchaient des sous-marins au lieu de pêcher du poisson, le poisson forcément devenait rare ; d’autant plus que, si la pêche en haute mer est tout à fait supprimée, la pêche côtière est elle-même fort gênée ; on a dû l’interdire dans les environs des ports et dans presque tous les estuaires des grands fleuves, parce que rien ne serait plus facile à un sous-marin que de s’embusquer derrière un bateau de pêche et, dissimulant ainsi son périscope aux lorgnettes qui fouillent l’horizon, de sortir brusquement de cet abri pour attaquer les paquebots ou les transports de guerre. Au lieu de 700 000 tonnes dont la France disposait annuellement, sur lesquelles 110 000 provenaient de ses colonies, - le reste étant produit sur son propre sol, - nos fabriques indigènes, dont 180 sur 220 sont situées dans des départemens partiellement au pouvoir de l’ennemi, ont produit seulement 140 000 tonnes en 1915. Les envois de nos colonies et les achats faits en Amérique et à Java par le commerce libre s’élèvent à 350 000 tonnes.

Il le fait avec modération en tenant compte de son propre prix de revient et de celui des cultivateurs et industriels français, dont les frais ont augmenté parce qu’ils travaillent dans des conditions anormales. Nous avons ainsi été conduit à appliquer cette méthode historique documentaire à chacun des points de vue auxquels la Pomme de terre peut être envisagée, qu’il s’agisse de son Origine ou de son Histoire proprement dite, où bien qu’il soit question de sa Biologie, de ses Maladies, de ses différends Procédés de culture et de multiplication, ou même de son Utilisation. 15 ; et sans doute eût-il triplé comme le vin, si le même ministère, dont nous avons vu le rôle bienfaisant pour le blé, ne s’était fait aussi marchand de sucre. Ceci ne veut pas dire qu’il n’y ait pas eu de marchandises surfaites, quoique souvent, parmi celles qui semblent le plus évidemment majorées, il se peut que leur prix excessif ait tenu a une production mal organisée, plus qu’à une ambition de gain démesurée des vendeurs : au début de la guerre, l’Etat faisait fabriquer pour la troupe, à façon, pour 50 000 kilos par jour de conserves assaisonnées, dont il fournissait la viande et la boite, et qui lui revenaient à 4 fr.

Les intermédiaires gagnent à la vérité sur leur stock en magasin, s’ils en possèdent ; lorsqu’il s’agit de marchandises susceptibles de conservation, ils en portent le prix au niveau de celui auquel ils devront se réapprovisionner eux-mêmes ; seulement, devant les résistances des acheteurs, menaçant de s’abstenir ou de changer de fournisseurs, commerçans de gros et de détail sont portés à restreindre leur prélèvement, non par générosité ou philanthropie, mais par une concurrence naturelle et par le souci de leurs intérêts. On aurait tort, du reste, de croire que la hausse actuelle soit pour une part quelconque imputable aux intermédiaires de gros ou de détail. Sans aller en Amérique, l’organisation des achats et des transports, la collaboration des intermédiaires unis dans le désir désintéressé de servir le pays, peuvent, sinon supprimer une hausse incoercible puisqu’elle résulte de l’absence partielle de marchandises, au moins en atténuer sensiblement les effets. Ce n’est pas à une moindre importation qu’est due la cherté inouïe des vins ordinaires ; bien qu’au contraire de ce que l’on croit généralement et malgré les tarifs élevés de notre douane, la France achète en général plus de vins à l’étranger qu’elle ne lui en vend. Il est entré en France, l’an dernier, autant de vanille et d’essence de rose, et trois fois plus de musc que d’ordinaire ; ce qui prouve que la parfumerie se défend malgré la cherté de l’alcool, qui fait majorer l’eau de Cologne de 80 pour 100. L’alcool pur, en effet, a quintuplé ; il vaut aujourd’hui près de 300 francs l’hectolitre ; nous sommes obligés d’en faire venir d’Amérique.

Nous mismes là sur la riviere de Lech les coffres, & moi avec d’autres, pour les conduire à Augsbourg sur un floton, qu’ils noment : ce sont des pieces de bois jointes ensamble qui s’estandent quand on est à port. » Cette assertion vaut celle de M. Valserres disant gravement : « Le principal organe des mouches truffigènes est une tarière qui part du milieu du ventre et se prolonge dans un fourreau jusqu’à l’extrémité du corps ; cette tarière sort du fourreau très longue et très aiguë lorsque la mouche pique les radicules. Alors, je vins fumer mon cigare dans le square, sur une chaise. Procédé : Tremper la mie de pain dans le lait jusqu’à imbibition complète ; dessécher à feu vif jusqu’à ce que la pâte se détache nettement d’après la cuiller ; débarrasser et étaler sur un plat ou plafond beurré, et laisser refroidir. Dans le cours des nombreux voyages qu’il avait effectués, il s’était deux fois rendu en Angleterre, en 1579 et en 1581. En cette année 1581, il paraît avoir été mis en rapport, à Londres, avec Francis Drake, d’après ses biographes. Nota. - Cette composition peut être additionnée de 100 grammes de Parmesan râpé : les deux saveurs se marient agréablement.
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