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في كانون أول 30, 2024
Fugato hoste veteres erigebant in editioribus locis stipitem humana specie, aut arborem ramu amputatis truncam, cui spolia hostium circumponebant. Curuatura in apice galeæ, cui cristæ superponuntur. TOULOUSE (RAYMOND DE), nom de 7 comtes de Toulouse, dont voici les plus connus : R. IV, dit Raymond de St-Gilles, comte de Toulouse, duc de Narbonne, marquis de Provence, né vers 1042, m. en 1105. Il fut un des chefs de la 1re croisade (1096), et l'un des premiers qui montèrent à l'assaut de Jérusalem; après la prise de la ville, il refusa deux fois la couronne. Narbonaise. Frédelon, qui commandait à Toulouse sous Charles le Chauve, ayant remis au roi cette importante place après la mort des comtes Bernard et Guillaume, qui avaient soutenu le parti de Pépin II, roi d'Aquitaine, fut fait comte de Toulouse, en 849 ; son frère Raimond lui succéda (852), et depuis le comté fut héréditaire dans cette famille. Considérée dans le cours de son existence, la Pomme de terre serait une plante annuelle, se reproduisant chaque année au moyen de ses graines, comme beaucoup d’autres espèces non ligneuses, si elle ne s’assurait une sorte de persistance vitale par la formation de ses tubercules souterrains. TOULOUBRE, Cœnus, riv. de France (Bouches-du-Rhône), communique avec la Durance par le canal de Craponne et se perd dans l'étang de Berre, près et au S. S. E. de St-Chamas, après un cours de 60 k.
E., 16° lat. N., après un cours d'env. TOUMBÉDRA, riv. de l'Inde, dans le N. du Maïssour, est formée des deux rivières de Tounga et Bhadra, qui sortent des Ghattes occidentales, coule au N., puis au N. E. et à l'E., et tombe dans la Krichna par 75° 58' long. Loire la divisait en 2 parties: Hte-Touraine, au N., B.-Touraine, au S. ; on y distinguait en outre les Varennes, le Verron, la Campagne, la Brenne, la Gastine. Nièvre en 1802 et 1809. Outre des écrits de circonstance, on a de lui une Hist. Dresser en couronne avec une belle lame de truffe sur chaque paupiette ; disposer au milieu les croquettes de pointes d’asperges et entourer d’un cordon de jus lié. Au Xe s., le comté de Toulouse était l'un des six grands fiefs de la couronne : il avait alors sous lui comme arrière-fiefs les comtés de Quercy, d'Alby, de Carcassonne, de Nîmes, de Béziers, de Foix; de plus, les comtes héritèrent au XIe s. De là la terrible guerre des Albigeois, l'expulsion des anciens comtes, et l'élévation de Simon de Montfort au titre de comte de Toulouse (1212-1218). La mort de Simon rendit le comté à l'ancienne dynastie, mais celle-ci s'éteignit bientôt dans les mâles en la personne de Raymond VII (1249). Sa fille Jeanne, épouse d'Alphonse, frère de S. Louis, lui succéda, sans conserver toutefois les vastes arrière-fiefs du comté de Toulouse (ceux-ci par le traité de Paris, 1229, avaient été cédés à la couronne) ; enfin en 1271, après la mort d'Alphonse et de sa femme, qui ne laissaient pas d'enfants, le comté de Toulouse proprement dit fut aussi réuni au royaume de France.
TOULOUSE (L. Alexandre DE BOURBON, comte de), 3e fils légitimé de Louis XIV et de Mme de Montespan, 1678-1737, eut le titre d'amiral de France dès l'âge de 5 ans, se distingua pendant la guerre de la Succession d'Espagne (1700-10) et battit l'amiral Rooke aux environs de Malaga. Toulouse avait une université depuis 1229 ; Philippe le Bel y établit un parlement en 1302. Elle a longtemps conservé des privilèges particuliers : ses magistrats s'appelaient capitouls. Deux fois excommunié (1208 et 1211), il vit prêcher une croisade contre lui, eut à soutenir des guerres sanglantes et désastreuses, et fut quelque temps dépouillé de ses États, dont Simon de Monfort s'empara (1212-18) ; mais il finit par triompher des armées ennemies, rentra dans ses domaines et s'y maintint jusqu'à sa mort (1222), malgré les attaques d'Amaury de Montfort, fils de Simon. Il fut attaqué par Henri II, roi d'Angleterre, et Alphonse II, roi d'Aragon; mais il sortit victorieux de ces différentes luttes, et acquit la ville de Nîmes; il y mourut en 1194. - R. VI, le Vieux, fils et successeur du préc., né en 1156, eut de violents démêlés avec le St-Siége au sujet des Albigeois, dont il favorisait l'hérésie : on lui imputa le meurtre du légat Pierre de Castelnau.
Cette tour fut construite avant la conquête normande : Guillaume (1077) et ses successeurs l'agrandirent beaucoup. Banville, très surpris, demanda l’explication de cette bizarre menace. La confiance, William, cette sainte confiance qui est la fleur de l’âme, qui existe sans savoir pourquoi, sans savoir même qu’elle pourrait ne pas exister, une fois qu’elle est troublée, c’est pour toujours. Or si l’on peut admettre que ce grand glacier de l’Oberland bernois n’était qu’un affluent de la grande mer de glace de la plaine suisse ; s’il est également probable que l’immense nappe de glace débouchant du Valais par le bassin du Léman se mouvait dans la direction de l’Est à l’Ouest, en contournant les Alpes du Pays d’en Haut, pour se grossir encore des affluens du bassin de la Sarine, on ne trouvera plus rien d’extraordinaire dans le niveau des roches polies et des blocs erratiques du Jura et dans la distribution de ces derniers sur les pentes méridionales de cette chaîne.
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