بواسطة في كانون الثاني 5, 2025
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’intendance de Turin et de tout le Piémont, sur le Pô et la Doire, à 825 kil. Pô et resta comprise dans l’empire jusqu’en 1814. Louis XIV signa en 1696 à Turin avec le duc de Savoie un traité par lequel il restituait à ce prince les villes conquises et stipulait le mariage de la fille du duc avec un de ses petits-fils. Ma fille est au piano… Turin est une des plus belles villes de l’Europe : les rues, tirées au cordeau, se coupent à angle droit, et ont des arcades semblables à celles de la rue de Rivoli (à Paris) ; on y remarque les rues du Pô, de la Doire et Neuve; les places St-Charles, du Château, Victor-Emmanuel et d’Italie; la cathédrale et les églises de St Laurent, du St-Sacrement, de Ste-Thérèse, des Jésuites, des Feuillants ou Consolata; les palais du Roi, des ducs de Savoie, du prince de Carignan, le grand théâtre, l’arsenal. Prudence, qui comprit instinctivement, en gros si vous voulez, son danger, quitta Valenciennes, et vint à dix-sept ans à Paris pour s’y cacher Mais si le petit garçon doit être un peu indépendant, il ne faut pas qu'il fasse montre d'un sans-gêne déplorable. Son poil est souple et sec, un peu comme celui des chèvres. Nous nous y attelons pour que ça fonctionne sereinement, dans l’intérêt des producteurs, comme dans celui des consommateurs", assure Philippe de Santis. La chambre de celui qui fait l'éducation d'un enfant doit être contiguë à la sienne. Si une petite fille reçoit des leçons d'un professeur homme, n'eût-elle que quatre ou cinq ans, il est de la plus élémentaire bienséance que sa mère, ou sa bonne, soit en tiers. Souvent les professeurs, homme ou femme, sont besogneux et la valeur de l'objet, en argent, leur ferait plus de plaisir; si on sait cela, on peut bien offrir la somme qu'on eût consacrée à l'achat d'un bibelot. Mais prenez bien garde ? Un enfant doit toujours se baisser vivement et ramasser l'objet que son père, sa mère ou un de ses parents a laissé 61 tomber, mettre un coussin sous les pieds de la grand'mère, aller chercher le journal ou les lunettes du grand-père, apaiser par une grimace ou une caresse petit frère ou petite sœur qui pleure (les marmots préfèrent généralement la grimace), rapporter une fleur à sa petite mère, un bonbon ou un gâteau à ses frères et sœurs, s'il en a et s'il est allé déjeuner ou goûter en ville; enfin, avoir ces infiniment petites prévenances qui ouatent l'existence et font voir qu'on est bien élevé En ses périodes de fête et devant le prix du gramme de Truffes noires et blanches fraîches, on peut être tenté de se mettre à la chasse aux truffes. Actuellement nous préparons les truffes en velouté façon Steve Willié du Grand Chalet à Gstaad, en brouillade dont nous laissons bien infuser à l’avance la préparation, en carpaccio d’artichaut. "L’État n’étant qu’une institution temporaire dont on est obligé de se servir dans la lutte, dans la révolution, pour organiser la répression par la force contre ses adversaires, il est parfaitement absurde de parler d’un État populaire libre; tant que le prolétariat a encore besoin de l’État, ce n’est point dans l’intérêt de la liberté, mais pour réprimer ses adversaires et le jour où il devient possible de parler de liberté, l’État cesse d’exister comme tel". II ne voyait pas de contradiction possible entre la dictature du prolétariat et la "démocratie la plus large possible". Ce n’est pas tant le "pourquoi" de cette limite qui est difficile à expliquer, mais le "comment". Dans la mesure où la classe dominante est une classe non- exploiteuse, elle tentera d’atténuer les effets pernicieux de l’État autant qu’elle le pourra, comme elle l’a fait pendant la Commune: les délégués ouvriers et tous les responsables de la fonction publique sont révocables à tout instant; toute force année séparée de la classe ouvrière est détruite; un contrôle permanent est établi sur le fonctionnement de l’État; les fonctionnaires et les délégués ne sont pas plus rémunérés que les ouvriers; etc Dans une période de pouvoir politique prolétarien, une période de bouleversements constants, si le prolétariat n’a pas la force matérielle d’imposer son programme, de garder le pouvoir, parce qu’il lui manque une extension internationale suffisante, l’État ne pourra que former et reformer une cohésion sociale toujours aliénée sur la seule base autorisée par la réalité prédominante. Pour traiter cette question, nous ne dis posons pas d’une grande expérience historique. Nous ne pouvons que dire, avec Lénine, lorsqu’il cherche à redécouvrir et interpréter la position marxiste sur l’État à son époque dans L’État et la Révolution : "Comme on les entendrait crier à l’anarchisme, les chefs du "marxisme" moderne cuisiné à la sauce opportuniste, si on leur proposait un semblable correctif au programme! "Le moins qu’on puisse en dire, c’est que I’État est un mal dont hérite le prolétariat vainqueur dans la lutte pour la domination de classe et dont, tout comme la Commune, il ne pourra s’empêcher de rogner aussitôt au maximum les côtés les plus nuisibles, jusqu’à ce qu’une génération grandie dans des conditions sociales nouvelles et libres, soit en état de se défaire de tout ce bric-à-brac de l’État". Mais en pratique, après l’insurrection victorieuse d’octobre 1917, Lénine et les marxistes de l’époque se sont heurtés à ces contra dictions dont les conséquences furent tragiques
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